Par Stéphane Pariyski
Le peuple grec ne pourra pas décider de son avenir ; le nouveau gouvernement compte pour la première fois depuis la fin de la dictature des ministres d'extrême-droite – une situation qui rappelle l'entre-deux-guerres, lorsque le traité de Versailles faisait payer la note au peuple allemand : Sarkozy et Merkel sont contents... Berlusconi (pour qui nous n'avons pas la moindre sympathie, vous l'imaginez...) passe la main en catimini à un gouvernement qui va accroître la rigueur, sans que le peuple italien puisse se prononcer : le conseil européen et le G20 voient leurs vœux se réaliser...