Et les normes d'encadrement?

par Jean-Michel Ruiz

Merci à Stéphane pour son « retour » sur le Conseil municipal de jeudi. En ce qui concerne les rythmes scolaires, il reste cependant un sujet préoccupant : il s’agit des normes d’encadrement qui sont fixées à 18 en élémentaire et à 14 en maternelle (contre 12 et 8 en CLSH).

Le gouvernement a voulu (comme il l’a fait avec la proposition des 3h d’affilé) aller dans le sens des maires qui protestent contre le coût de cette réforme pour les collectivités locales. Il est bien loin l’intérêt de l’enfant…

Ce n’est pas en ne lâchant du lest de cette manière (au détriment de la qualité des activités) que M.Hamon fera oublier l’énormité de ce nouveau transfert de charge. A cela s’ajoutent les conséquences du pacte de « responsabilité », qui diminue sur 3 ans de 11 milliards l’aide aux collectivités territoriales, et ainsi les municipalités seront dans une impasse : soit diminuer l’offre aux citoyens soit augmenter les impôts.

Pour en revenir aux normes d’encadrement, il s’agira de faire le point durant la période d’observation (septembre à décembre 2014) afin de voir si nous devons envisager différemment les choses.

Si j’insiste sur ce sujet c’est que les projets présentés par les animateurs sont ambitieux, de qualité, et nécessiteraient un taux d’encadrement plus adapté. Il nous faudra donc être tolérant avec les animateurs car les conditions ne seront pas optimales pour eux.

Quotient et rythmes scolaires au conseil

par Stéphane Pariyski

Il faut que je m'habitue à mon nouveau statut d'observateur passif... À chaque fois que j'entends “qui est contre ?”, par réflexe j'ai envie de lever le bras... Blague à part, conseil municipal intéressant, jeudi soir – où je n'aurais pas eu l'occasion de “voter contre” quoi que ce soit, d'ailleurs... Peut être et sans doute de m'abstenir sur le mémoire qui concernait la refonte du quotient familial, comme l'a fait Jean-Michel d'ailleurs.

Pourquoi ? Parce que c'est la même rengaine depuis six ans. Aucun progrès, aucune évolution ou presque...

De Mériel à Saint-Leu, “ni sabre, ni goupillon”

par Stéphane pariyski

Salut aux copains de Saint-Leu-la-Forêt, croisés ce matin sur le marché, qui protestent contre l'inauguration d'une place “Saint-Jean-Paul-II” dans leur ville.

De Mériel (et sa désormais fameuse “salle Jean XXIII”) à Saint-Leu, la laïcité reste un combat !

Ni-de-gauche-ni-de-droite, bien au contraire !

par Stéphane Pariyski

Le maire de Mériel aurait-il honte de sa proximité avec l'UMP ?

Après avoir pris part au meeting de l'UMP avec Nicolas Sarkozy, en 2008 à Mériel, c'est avec Alain Juppé et Axel Poniatowski que s'affiche aujourd'hui Jean-Louis Delannoy, lors du rassemblement de l'UMP à l'Isle-Adam (titre de l'article sur VONews : “Alain Juppé à l'Isle-Adam pour rassurer les militants UMP”).
Pourtant le maire de Mériel continue à promettre main sur le cœur qu'il est “apolitique” et “sans étiquette”... Il est même allé jusqu'à déplorer publiquement que la préfecture l'ait étiqueté “divers-droite” lors des dernières municipales...
Allez, un peu de courage et on s'affiche ?

Vive la Fête de l'Huma !

par Jean-Michel Ruiz

On y vient nombreux! Plein de débats, de spectacles, de rencontres... Procurez-vous la vignette/bon de soutien (21 euros donnant accès aux 3 jours) auprès des communistes de votre ville ou de la Fédération du PCF.

Soutien aux cheminots

par FDG Mériel

Sur vonews:

Grève SNCF : Jean-Michel Ruiz (PCF) soutient les cheminots

Alors que le mouvement de grève à la SNCF a été reconduit ce jeudi, le secrétaire départemental du PCF95, Jean-Michel Ruiz, apporte son soutien aux salariés mobilisés. « Ce texte, qui prétend réunifier RFF et SNCF afin de réduire les coûts d'une structure en doublon, prépare en réalité l'élargissement de l'ouverture à la concurrence du transport ferroviaire exigée par l'Union Européenne », estime le communiste.

Jean-Michel Ruiz prend la défense des salariés grévistes de la SNCF. Les cheminots réclament le retrait de la réforme ferroviaire, présentée à l'Assemblée Nationale le 17 juin prochain. Une revendication que soutient également le patron du PCF 95, qui accuse l'Etat de vouloir mieux préparer l'ouverture à la concurrence, au détriment su service public. « Le gouvernement entend en effet créer une société unique en façade, mais trois entités dans les faits, pour renforcer la séparation entre gestion des infrastructures et exploitation du réseau », précise-t-il. Et d'ajouter : « Le scénario est écrit à l'avance. L'exploitation des voies, éminemment rentable, sera captée par le marché privé tandis que les infrastructures seront laissées à la seule responsabilité du secteur public. Rappelons qu’une dette de 44 milliards d’euros s’est accumulée au gré des transferts de responsabilité dont s’est délesté l’Etat ».

Inadmissible pour Jean-Michel Ruiz. « Avec le libéralisme, c'est toujours la même rengaine  : privatisation des profits et nationalisation des pertes ». Désormais, il appelle à « une réunification réelle de la SNCF et de RFF au sein d'un organisme public possédant le monopole du chemin de fer et de son exploitation ». 

Union contre l'austérité!

par Jean-Michel Ruiz

Le FN a obtenu près de 30% sur Mériel aux européennes. 
Nous avons décidé de déconstruire son discours et le démythifier. La pédagogie est toujours utile. Nous diffuserons donc cette semaine ce tract qui démontre à quoi correspond concrètement le vote FN et qu'une alternative existe, qu'elle est à gauche, et que le Front de gauche est disposé à y travailler (cliquez dessus pour le lire).

Hausse du chômage dans le Val d'Oise

par FDG Mériel

Vonews a rédigé un article suite à la réaction de Jean-Michel Ruiz, élu de Mériel, sur la hausse du chômage dans le Val d'Oise.

Chômage : Jean-Michel Ruiz tacle un gouvernement « irresponsable »

Rédigé le 2/06/2014

Suite à la parution des chiffres du chômage, Jean-Michel Ruiz, secrétaire départemental du PCF 95, tacle le gouvernement socialiste. Peu convaincu par la possibilité d'une inversion de la courbe du chômage à court terme, il estime que « prétendre améliorer l'emploi en baissant le coût du travail est depuis longtemps un fiasco ».

Le patron des communistes du Val d'Oise tire à boulet rouge sur l'Etat. « Comment qualifier un gouvernement qui postule sur le fait que, grâce aux 30 milliards d'euros de baisses de cotisations sociales patronales accordées dans le cadre du pacte de responsabilité et du Crédit d'impôt compétitivité, les entreprises créeraient quelque 800 000 emplois supplémentaires d'ici à 2017 ? », s'interroge-t-il. Et d'ajouter : « D’irresponsables ? En effet, cette façon de prétendre améliorer l'emploi en baissant le coût du travail est depuis longtemps un fiasco ».

Pour Jean-Michel Ruiz, il est nécessaire de changer de cap après la sanction des dernières élections européennes. « Il faut rompre avec cette politique d’austérité qui conduit le pays dans le mur et la gauche à l'échec. Les résultats des élections européennes qui ont vu l’extrême-droite, pourtant fermement néo-libérale, surfer sur le mécontentement, devraient faire réagir l’ensemble de la gauche », estime-t-il.