par Jean-Michel Ruiz
Hier j'ai marché, loin des chefs d'états, derrière la rédaction de Charlie
et les familles des victimes, au milieu de gens de tous les âges, de
toutes les origines, de toutes les confessions...du Peuple en fait.
J'ai
croisé mon ami Oscar qui sait bien ce que "liberté d'expression" veut
dire lui qui a dû fuir il y a plusieurs années la dictature Argentine.
J'ai marché contre les amalgames, pour la République, pour la
démocratie, la paix et la justice sociale, sans renier aucun de mes
combats.
En clair, j'ai marché et je ne le regrette pas.
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