par Sylvie Geoffroy-Martin
Lundi prochain à 8 H,
devant le tribunal des Prud'hommes de Pontoise
au 3,rue Victor Hugo
RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN AUX CAMARADES
DE L'ENTREPRISE STEF DE SAINT OUEN L'AUMONE
STEF est une entreprise de fret surgelé, sous traitant pour Picard et Auchan.
Elle possède plusieurs sites de production, dont un à St Ouen L'Aumône.
Les conditions de travail dans des entrepôts à -28° sont très difficiles.
Main d'oeuvre immigrée, mal payée, surexploitée.
Le 31 janvier, les salariés, organisés dans leur section syndicale CGT, ont démarré une grève afin d'obtenir une prime annuelle promise par la direction, mais non versée, ainsi que l'amélioration des conditions de travail.
Pour le patron, malgré des bénéfices records, pas question de lâcher une miette.
La direction l'a toujours annoncé très sereinement à l'inspection du travail comme aux journaux : le préalable à toute négociation est le retrait des mandats syndicaux des DS CGT.
Son seul objectif est de liquider la présence syndicale gênante : provocations multiples, huissiers, tentatives d'instrumentaliser les forces de police...tout y est passé.
Bilan : 15 procédures de licenciements, officiellement pour faute lourde, officieusement pour fait de grève (dont les 4 délégués syndicaux CGT) !
C'est une remise en cause très grave du droit de grève. Ne laissons pas le patronat le banaliser, pour nous intimider.
Aussi, lundi, je vous invite -si vous le pouvez - à passer manifester votre solidarité, même un court instant à partir de 8 H devant le tribunal des Prud'hommes de Pontoise où commenceront à se juger ces affaires.
Y' aura du monde.
Bon dimanche
Olivier Delous
CGT Educ'action 95
devant le tribunal des Prud'hommes de Pontoise
au 3,rue Victor Hugo
RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN AUX CAMARADES
DE L'ENTREPRISE STEF DE SAINT OUEN L'AUMONE
STEF est une entreprise de fret surgelé, sous traitant pour Picard et Auchan.
Elle possède plusieurs sites de production, dont un à St Ouen L'Aumône.
Les conditions de travail dans des entrepôts à -28° sont très difficiles.
Main d'oeuvre immigrée, mal payée, surexploitée.
Le 31 janvier, les salariés, organisés dans leur section syndicale CGT, ont démarré une grève afin d'obtenir une prime annuelle promise par la direction, mais non versée, ainsi que l'amélioration des conditions de travail.
Pour le patron, malgré des bénéfices records, pas question de lâcher une miette.
La direction l'a toujours annoncé très sereinement à l'inspection du travail comme aux journaux : le préalable à toute négociation est le retrait des mandats syndicaux des DS CGT.
Son seul objectif est de liquider la présence syndicale gênante : provocations multiples, huissiers, tentatives d'instrumentaliser les forces de police...tout y est passé.
Bilan : 15 procédures de licenciements, officiellement pour faute lourde, officieusement pour fait de grève (dont les 4 délégués syndicaux CGT) !
C'est une remise en cause très grave du droit de grève. Ne laissons pas le patronat le banaliser, pour nous intimider.
Aussi, lundi, je vous invite -si vous le pouvez - à passer manifester votre solidarité, même un court instant à partir de 8 H devant le tribunal des Prud'hommes de Pontoise où commenceront à se juger ces affaires.
Y' aura du monde.
Bon dimanche
Olivier Delous
CGT Educ'action 95
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