par Béatrice Ruiz
Il m'arrive souvent aux aurores, à l'heure du pêcheur, d'aller saisir l'instant du jour qui se lève sur Mériel, riche en couleurs, imprégné de senteurs, et au fil de l'eau, c'est de la belle lumière, plein les yeux...comme s'il en pleuvait !!
Ça se passe à Mériel au bout de la rue du Port ; ou plus loin, à hauteur de la borne fluviale kilomètre 24, on y respire la campagne, ici la petite prairie exhale ses senteurs matinales, le foin, la rosée ...c'est doux comme une madeleine de Proust. De ces instants-là, j'en ai saturé la mémoire de mes portables, habillé les murs de mon bureau et "relooké" mes fonds d'écran...
C'est beau, précieux mais fragile et vulnérable aussi et il m'est arrivé de redouter, de craindre le gros temps annoncé, les ravages d'un orage, de la foudre ou de la grêle...
Mais le danger ne vient pas toujours de là où on l'attend... Et cette "belle" saison aura décidément été un "sale temps pour les arbres de Mériel".
Ça se passe à Mériel au bout de la rue du Port ; ou plus loin, à hauteur de la borne fluviale kilomètre 24, on y respire la campagne, ici la petite prairie exhale ses senteurs matinales, le foin, la rosée ...c'est doux comme une madeleine de Proust. De ces instants-là, j'en ai saturé la mémoire de mes portables, habillé les murs de mon bureau et "relooké" mes fonds d'écran...
C'est beau, précieux mais fragile et vulnérable aussi et il m'est arrivé de redouter, de craindre le gros temps annoncé, les ravages d'un orage, de la foudre ou de la grêle...
Mais le danger ne vient pas toujours de là où on l'attend... Et cette "belle" saison aura décidément été un "sale temps pour les arbres de Mériel".